La descente *libre*

Je galopais tranquillement, faisant des bonds de temps en temps, axcélérant l'allure pour ratraper une feuille morte qui tombait au sol, ou encore slalomait entre les arbres aux feuilles humides. Mes longs crins soyeux flottaient élégamment derrière moi, au milieu de toute cette végétation fauve, j'étais l'intruse avec ma belle couleur de neige, incrustée de taches noires. Les feuilles qui tapissaient le sol masquant le bruit des mes sabots. J'arrétais ma course folle une fois arrivée en haut d'une petite colline, regardant tout autour de moi; je pouvait percevoir d'où j'étais toute la forêt. Devant moi s'étendait une longue descente qui semblait quelque peu glissante.

Je goûtais avec bonheur au vent dans ma longue crinière, aux feuilles colorées qui voltigeaient à chacun de mes pas, le bruit spongieux du sol parsemé de feuilles mortes, j'appréciais la caresse du soleil sur ma peau.
Un faucon s'envola en criant, alors que je passais en trombe à côté de lui. Je longeais une longue falaise, parsemée d'hauts arbres majestueux.
Je goûtais à la tranquille solitude, et paix que me confèraient ces lieux magiques. Je poussais un petit hennissement joyeux, et fit fouetter l'ai de ma queue d'encre.
Ma silhouette altière se découpait dans les couleurs orangées de cet automne, et je levais haut mes antérieurs.
Heureux. J'étais heureux. A présent, si un rien intevrenait, il briserait mon bonheur total.

En même temps de penser cela, une odeur m'empli les narines. Je stoppais dans une petite cabrade, et tournai les oreilles. Là, il y avait un autre cheval.
Je n'aurais jamais dû penser au malheur pensais-je, furieux. A présent, un cheval allait me faire causette. Je tappais le sol de mon antérieur droit, en signe de fureur.
J'allais apprendre à ce malapris, qu'il ne faut pas venir déranger le mystérieux Minuit, dans ses moment des paix, et de joie.
Qu'il ne fallait pas déranger l'Ombre tout court.
J'avançais alors dans les fourrés, mes oreilles plaquées sur mon crâne.

Tout en observant les alentours, je perçu l'odeur d'un autre cheval; sans doute un étalon. Je tournait alors ma tête pour voir à quoi ressemblais ce cheval; je ne le vis pas, mais sentais bien qu'il était la, pas très loin. Je décrétais donc que si il ne se montrait pas, je n'irais pas le chercher, si il voulait venir, et bien qu'il vienne. J'étais très bien ou j'étais, mais sa présence m'intriguais quelque peut. J'allongeais alors mon encolure blanche et noire pour mieux voir, et c'est alors que j'aperçu un monvement rapide, dans les fourrés.

Lorsque je débouchais sur la petite colline, un bel étalon blanc, tacheté de noir, tendait l'encolure vers moi, pour m'observer.
Je tappais du pied par terre, pour lui montrer mon agacement.
La queue en panache, je m'avançais, bien décidé a faire passer l'envie à ce malotru de me dévisager comme si j'étais une soucoupe volante.
Mes oreilles applaties sur mon crâne.
L'inconnu n'avait pas une attitude hostile. Ni agacé. Juste curieuse.
Je décidais alors de me montrer raisonnable. Un semblant de ruade, un claquement de mâchoire, suffiraient. A la place d'un bon coup de dent sur la croupe.

(je sais pas si c'est fait exprait ou pas, mais Midnight est une jument hein^^)
Le nouveau venu décidait finalement de se montrer; avec les oreilles en arrières, plutot hostile, cet étalon ! je ramenais alors ma tête vers moi, courbant mon encolure pour avoir l'air plus grande, et fis un petit signe de tête en signe de bienvenue, j'avais, pas comme certains, un minimum de politesse ! Puis, d'un coup, je bandais mes muscles, et fis un bond en avant, j'avais l'intention de dévaler la pente au triple galop; j'adorais courir, sauf que, cette fois ci, la pente était trop glissante, au lieu de galoper, je glissais entre deux foulées de galop, puis, je m'aperçu que je fonçais droit dans un tas de feuilles...

Je fus un instant surpris. C'était une jument en réalité! (c'étai fait exprès XD)
Je me stoppais. Je n'aimait pas e^tre surpris.
Puis la jument me fit un signe de bienvenue, alors que 2 secondes avant, elle me fixait. Puis, sans crier gare, elle dévala la pente.
Je me précipitais sur le rebord de la colline pour voir ce qu'elle venait de faire.
La jument dévalait en glissant la pente.
Soudain, je sentis le sol glisser, et je me précipitais à sa suite...

(Ah, ok^^)
Au lieu de foncer dans le tas de feuilles, je me remis au galop tant bien que mal; puis, je sautais...Et attéris de l'autre côté du tas ! Heureuse de mon exploit, je me retournais pour voir l'étalon, et, à ma grande surprise, je ne le trouva pas ou je l'avais vu quelques minutes plus tôt... Il glissait lui aussi le long de la pente ! En calculant sa trajectoire, je me rendis compte qu'il fonçait droit sur moi, donc, pour éviter cela, je fis un écart, et regardais l'étalon glisser...

Surpris, j'essayais de freiner ma glissade, en planant mes antérieurs dans le sol.
Je fonçais droit sur la jument blanche tachetée de noir. Celle-ci fit un écart pour m'éviter.
Inutile. Je vais aps lui foncer dedans voyons.
Je sautais, à l'instar de la réaction de la jument, et atterit en douceur sur le sol marbré de rouge, brun et orange.
La jument me regardait de ses grand yeux.
Je secouais ma crinière, et levais haut ma tête, ma queue se balançant au gré du vent.
La discussion allait être inévitable à présent...

Surprise qu'il ai sauté lui aussi, je me remis à l'observer, plus discretement cette fois; puis, voulant en savoir plus sur lui, je lui demandais :
"Euh, quel est ton nom ?"
Je me demandais si il allait répondre, ou, comme un peu plus tot, redevenir hostile... Je me préparais donc, au cas ou, à héviter le moindre coup de dents, ou autres...

Une fois m'être rétabli, je lançais un cops d'oeil à la jument.
Elle m'observait toujours, cette fois avec plus de discrétion au moins.
Puis, elle me dit d'une voix douce, ou pointait de la curiosité:
-Euh, quel est ton nom?
J'hésitais un instant entre un coup de dent bien sentis, et une réponse. Cette jument était très enquiquinante.
D'abord elle m'a pourri la journée en venant s'incruster sur mon chemin
d'un autre côté elle ne pouvait pas le savoir me murmurait une petite voix.
Ensuite elle m'a dévisagé comme si j'étais un humain croisé d'un bison.
Ou peut-être qu'elle était étonné de te voir
Et pour finir, elle m'a fait glisser le long de cette pente sale.
Peut-être est-ce ta faute, c'est toi qui t'es approché du bord surssura la voix.
Tais-toi lui intimais-je agacé.
Entre temps la jument attendait une réponse. Je devinais ses muscles tendus, prête à intervenir.
Elle a pas froid aux yeux la donzelle! pensais-je, en me retenant de sourire. J'avais vécu tellement d'horreurs et d'aventures, que mon corps lumineux, d'apparance douce et fragile, était en réalité plus musclé que la moyenne des chevaux .
La queue haute, je lâchais d'une voix agacée:
-Minuit.

Il répondit avec ton tellement peu agréable, que mes oreilles se coucheres d'elles memes en arrière. Voyant bien qu'il n'avait pas l'air commode, je lui lança un regard froid en coin, puis, me retourna pour remonter la descente au petit galop. De la haut, je pourrais de nouveau, sur la petite colline, observer la nature, et si j'arrivais à temps, voir le coucher du soleil...

Quelque peu agace quelle n'ai pas réagi, et egalemment vexé, jeje regardais la jument remonter la pente au petit galop
Je n'avais pas l'habitude que l'on me tienne comme ça tête
Et pour une fois que je m'amusais...
Le ciel se nimbait de belles taches colorées
C'était magique
Je suivis la jument, jusqu'en haut de la colline. Puis je lui demandais:
- et toi? Tu mas pas dit comment tu t'appelle

Une fois arrivée en haut, j'entendis au sons de sabots qu'il me suivait. En entandant ça question, je tournais ma tête de son coté, les oreilles en avant, je lui répondis d'une voix calme et posée :
"Moi, c'est Midnight"
Je le regardais encore un court instant, puis, détournais mon attention sur le soleil, sa lumiere embrasait les arbres de l'autre côté du globe terrestre; c'etait magnifique...

Elle me répondit brièvement, avant de reporter son attention sur le soleil.
Suivant son regard, j'admirais l'immense boule de feu faire rougeoyer le paysage. Les arbres semblaient se teinter de doré, le ciel devenait du feu liquide. Le vent, qui jouait dans ma crinière, et qui semblait me murmurer "Viens... Viens...." me décida.
Je poussais un hennissement de joie, et me cabrais sur toute ma hauteur, pour saluer le soleil.
Mes sabots caressaient l'air, ma crinière ondulait glorieusement derrière moi, ma robe, nimbée de doré, éclatait au soleil.
Je restais un instant debout sur toutes ma longueur, avant de laisser mes antérieurs se poser sur le sol.

Alors que je regardais le soleil sombrer derrière les arbres, le ciel se tinta d'orange, puis de violet. J'appelais se moment l'heure magique, car tout prenait une autre couleur, je ne voyais plus comme dans la journée, ni comme dans la nuit, c'était juste, différent...
Puis, l'étalon se cabra, et brisa le silence avec un henissement puissant et joyeux, je tournais ma tête vers lui, et le regardais, amusée. A mon tour, lorsqu'il redescendit sur terre, je me cabrais, essayant de rester le plus longtemps dans cette position, puis j'emis un petit hénissement joyeux, qui, pourtant, résonna dans toute la vallée. Quand je retombais au sol, ma longue crinière retomba en cascade sur mon chanfrein et mon encolure; les derniers rayons de soleil, avaient disparut.

La jument m'imita, et se cabra égalemment.
A présent la lumière déclinait, laissant place à la lune, qui se reflétait sur nos robes, les rendants lumineuses.
Tels deux fantômes dans la nuit qui tombait, nous nous tenions debout.
Ma robe auparavant dorée et lumineuse, était devenue blanche et nacrée, et semblait briller d'une lumière intriguante.
Je murmurais entre ems dents:
-Magnifique...
Pui secouant ma fine tête, je partis doucement au trot, relevant à mon habitude mes membres, plantant la jument sur le chemin.
Avec une pointe de curiosité je me demandais si la demoiselle me suivrais...
Après tout, j ne me montrais jamais avec les troupeaux de chevaux qui avoisinaient et peuplaient la région...

A présent, il faisait nuit noire; je ne distinguais plus très bien la terre du ciel, mais, ce que je voyais parfaitement, c'était un cheval nacré, il ne ressemblait pas à celui que j'avais vu quelques minutes plus tot; mais je su à son allure fière et légère que c'était bien lui. Il partit droit devant au petit trot, me laissant seule... Mais, je n'avais nullement l'intention de le regarder partir ainsi, et, en prenant un galop flottant, je le suivis, "je le regretterai peut être" pensais-je alors que j'arrivais déja à quelques foulés de lui.

Je n'avais pas fait vingt mètres que retentit le bruit des foulées Dun galop léger
Je n eus pas besoin de tourner la tête pour deviner que la jument me suivait
Tiens d'habitude on était pressé de moublier et de me fuir ... Pas Den savoir plus sur moi!
J'eus un instant dhesitation et ralentis légèrement mes foulées aériennes
La jument ralenti également
Sa robe brillait aussi, mais pas de la même pâleur que la mienne. Pas cette pâleur mystérieuse... Les taches noires de sa robe étaient quasiment invisible sur le fond étoilé
Je décidais deprouver un peu la demoiselle, curieux de sa réaction..
Je ralentis encore jusqu'à atteindre un trot très lents. Comme je m'y attendait Midnight ralenti egalemment

Puis, sans crier gare, je partis au triple galop sous la voute que formait les arbres et sous les premières étoiles qui pointaient dans le ciel.

Ah, il voulait jouer à ce jeu... Et bien il allait etre servi !! Comme je n'avait que 4 ans, jouer me plaisais toujours, surtout courir, sauter... Mais faire la course seule, c'est quand meme moins bien qu'avec quelqu'un d'autre ! Je le rattrapais aisément lorsqu'il axcélérait, et ralentissais avec tout autant d'aisance quand il prenait une allure moins rapide; nous avancions ainsi dans le bois, semblable à deux spectres sortis de nul part... Puis, à un moment précis, je me stoppais net; je levais ma tête pour mieux sentir, quelque chose s'aprochais de nous par la gauche, tout mes sens étaient en alerte...

La jument me suivit de sa foulée légère. J'accélerais, prenant de la vitesse, laissant le vent me caresser l'échine.
Et senti la jument accélerer à mes côtés.
Soudain je frennais, et elle m'imita. Elle avait a peine ralenti, que j'étais reparti au trple galop.
Soudain, nous nous stopâmes net, en même temps.
Quelque chose dans les fourrés avait bougé.
J'ouvris grand ems naseauy, et orientait mes oreilles. Quelque chose était là, juste sur notre gauche.
Tout doucement j'avançais vers les fourrés.
Et sursautait en découvrant ce qui s'y cachait
[à toi l'honeur =P)

(ahh, ben justement, j'avais pas d'idée --")
Alors que je me préparais à prendre la fuite, l'étalon, lui, s'aprochait dangereusement du fourré où se cachait la bête. Puis, soudain, une masse sombre sortit du buisson, et se jeta sur l'encolure grise et lumineuse du cheval gris; il se débatit tant et si bien que la créature sanguinair aux longs crocs roula par terre, mais se remit rapidement sur ses quatres pattes pourvues d'énormes griffes. Malgrès la pénombre, son pelage était plutot clair, ça devait etre un jeune puma, et, aussi vite que l'éclair, bondit vers moi, mais je n'avait pas la force de l'afronter... Je me débattis de toutes mes force, pour qu'il lache mon membre avant qu'il avait emprisonné de sa machoire puisssante lorsque j'avais éssayer de le pietiner. Mais, bientot, il me lachait; Minuit lui avait asséner un magnifique coup de sabot dans le crane, je m'éforçais de rester debout, meme avec ma jambe qui laissait s'échapper une quantité impréssionnante de sang...

Après avoir blesse la jument, le puma lâcherais plus avant de lavoir dévorée
Je lui assenai un coups de sabot, avec toute la force de mes memebres, sur sa tête
Il lâcha heureusement Midnight et se tourna vers moi
Encolure arquée, oreilles plaquées sur le crâne, queue fouettabt l'air, sabots frappant le sol, je fis face au puma
Celui cu feula, mais je fis mine de le charger
Il essaya, tentative désespérée, de mordre encore Midnight
Mais celle ci hennit avec fureur. Malgré sa jambe qui ruserait dune couche rouge...

Elle frappa le sol de son antérieur , et hé fu mins de charger sur le félin
Au derbwr moment je me cabrais d toute ma taille au dessus de lui, tel une ombre menaçante...
Il ne demanda pa son reste et parti en jappant

Je regardais toujours les buissons ou le puma c'était échappé; tout était redevenu calme, à l'exception de ma réspiration et de celle de Minuit, il avait tout de meme chassé un puma !
"ça va ? Le puma ne ta pas bléssé ?" lui demandai-je, dans le noir, il était difficile de voir les morsures ou autres.
Puis, la douleur revint tirailler ma jambe, qui laissait échapper beaucoup de sang; beaucoup trop meme. Voyant bien que le flot de sang ne s'arreterai pas de lui meme, je regardait autour de moi si il n'y avait pas des toiles d'araignées, souvent, ma mere m'en avait parlé pour etre sur que, une fois seule, je pourrais me débrouiller. Heureusement pour moi, il y en avait une à quelques mettres, et, en boitillant, je réussi à atteindre la toile et à l'enrouler autour de ma blessure, en espérant que, dans quelques temps, le sang s'arreterait de couler.

«-Ca va le puma ne ta pas blessé?»
Je regardais Midnight, qui juste après m'avoir posé la question, se dirigeait vers une toile d'araignée. Ma mère m'avait dit que les toiles d'araignées étaient géniales pour stopper les saignements. [Une qui a aussi lu la Geurre des Clans XD]. Midnight s'en enroula autour de la jambe. Je fis un mini examens de mes blessaures. J'avais était bien griffé à l'épaule, et le puma avait eu le temps de m'efleurer la croupe avec ses dents. Mais ça allait. Et je lui répondit:
-Non ça va. Juste des griffures. Tant que ça ne s'infecte pas. ...
Et j'ajoutais finalement:
-Tu devrais rincer ta plaie dans un lac. Et moi aussi. Sais-tu si il y en a un dans les environs?

Et je regardais la lune. Elle brilait clair, et els étoiles autour illuminaient la couverture mnocturne du monde. Je n'entendais plus le puma...
Heureusement

(lol, effectivement)
Un lac ? Je cherchais dans mes souvenirs, mais ou pouvait il bien avoir un lac ? Mais oui ! Quand j'avais contemplé le paysage du haut de la colline, j'avais aperçu un petit lac, à quelques kilometres d'ici ! Pour voir dans qu'elle direction aller, je levais bien haut mon nez, et me mis à sentir l'air frai nocturne; avec un peu de chance, si nous n'étions pas trop loin, je pourrais sentir les courants d'airs produits par le lac. Apparement, le lac était droit devant, si mon nez ne me trompait pas :
"Tout à l'heure, du haut de la colline, je pense avoir vu une étendue d'eau, lui dis-je en montrant du bout de nez la direction du lac, puis le regardais avec hésitation :
-On y va ?" Après tout, rien ne l'obligeais vraiment à venir avec moi; ou du moins, à mon rithme, il pouvait ya ller beaucoup plus rapidement que moi, puisque je pouvais à peine poser mon antérieur au sol...